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Après des études de droit et une spécialisation en philosophie du droit, Véronique Dockx s’est consacrée pendant quinze ans à la défense des exilé.e.s au sein du Barreau de Bruxelles.

 

Depuis 2018, grâce à un burn out fracassant, elle arpente de nouveaux territoires. Elle a étudié les arts plastiques à l’Académie des Beaux Arts de Saint Gilles, avant d’être admise dans la section Art dans l’espace public de l’Académie royale des Beaux Arts de Bruxelles.

 

Artiste transdisciplinaire, elle conçoit sa pratique comme un laboratoire expérimental, à la recherche de formes et de formats hybrides permettant une autre approche du droit et de la justice, par la philosophie et les arts vivants.

 

Les arts vivants constituent un terrain privilégié de rencontres, partages, expérimentations et hybridations, qui se déclinent comme autant de dispositifs de sensibilisation et de transmission par les sens. Ils permettent non pas de « donner à voir » mais de « faire éprouver » pour dépasser les récits hégémoniques qui détruisent nos vies et en construire d'autres, les nôtres.

 

Par l’invention d’autres formes de langage et de récits, leur dimension créatrice et performative, les arts vivants nous bousculent dans nos habitudes et nos perceptions, et permettent de transformer nos pratiques, nos façons de voir le monde et de l’habiter. Cette forme de partage des savoirs est un outil puissant de transformation sociale, d’émancipation et de réempuissantement.

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